La maison de mya #2

Ils marchèrent d'un pas rapide. Il y avait un silence glacial entre eux. Mya remarqua que l'esclave avait arreté regarder la facade.

- Aller Esclaves, avance ! Dit-elle d'une voix agressive.

Une fois rendu a la maison, Mya se dit qu'elle allait lui faire faire un tour rapide des lieux. Avant de commencer, Elle lui donna une pogner de billet de 20$, Environ 10. C'était environ le cout d'un esclaves dans se temps la. Elle allait probablement donner d'auter argent plus tard, si elle voyait que le travail était bien fait. Elle commenca par la cuisine.

- Bon, Ici, c'est la cuisine. Tu devras laver les plats, chaudrons ou tout ce qui est sale.

Elle sortit par la porte d'en arrière, qui était reliée à la cuisine. Cette porte était plus petite que l'autre, mais beaucoup moins bruyante.

- Ici, le jardin. Les légumes et les fruits qui sont prèt, tu les ramasses et tu vas les porter dans la chambre froide qui est sous l'escalier la-bas.

Et elle expliqua chaque endroit. La chambre, les toilettes, Le salon, etc. Elle prennait une voix agressive et méchante pour avoir une première impression de quelqu'un qu'il fallait respecté.

- J'espere que tu ne t'attendais pas a avoir une belle petite vie calme ici. dit elle en changeant de pièce et en le laissant seul dans le salon.

Il écouta sans broncher toute les indications qu'elle lui donnait, mais n'était pas en accord avec elle. Elle le prenait pour qui la ? C'est pas comme s'il était un vrai esclave. Quand elle parla de la chambre froide il eu un instant une image de lui la poussant dedans et refermant la porte à clé. Hahahan.. Nan. Il n'a même pas eu le temps de faire entendre sa phrase lorsqu'elle partait.

''Peuh ! Comme si j'étais de cette classe d'esclaves. Elle est aveugle la vieille.''

Il fit un sourire mesquin et se dirrigea vers toute les fenêtres possible. Si elle ne voulait pas de lui pour une nuit, autant s'en aller. Si elle croyait qu'il était d'humeur à faire des stupides tâches ménagères alors la. Elle n'avait qu'à engager l'autre petit, lui était parfait pour cela. Et puis, mieux vaut revenir à la place publique pour trouver de vrais clients.

Il trouva 3 ou 4 fenêtres dans la cuisine qui étaient assez grandes pour qu'il passe. Il se mit à genoux sur les comptoirs. Il força la poignée, sois disant très rouillée, mais aucun succès. Elle était barrée, vérouillée, barricadée de l'extérieur. C'était de même pour toute les autres qu'il essaya. Mais c'est quoi cette folle ? Elle avait tout prévu son arrivé et sa fuite ? Nan mais !

''Merde..''

Il prit un couteau pour casser les vitres, ouais c'est pas trop fort mais c'est ça ou rien. Un GRAND couteau de cuisine. Mais il allait plutôt casser la petite fenêtre sur la porte qui reliait la cuisine au jardin. Sur ce il pourra débarrer la porte de l'extérieur en passant son bras. C'était une bonne idée, jusqu'à ce qu'il entendit des pas derrière lui.. Zut, déjà revenue ?

(T'es entré comment dans la maison toi ? Chui même pas encore dehors, en tika XD Jva faire comme si t'avais entré dans la maison.)

Ouff, pas l'affreuse veuve. C'était un homme qu'il avait peut-être entrevu sur le bateau, mais rien de plus. Il sursauta en voyant qu'il était prêt au 'combat'. Ukyo leva les mains d'un signe qui démontrait qu'il ne voulait rien faire de tel. Il n'était pas intru, il ne voulait que s'enfuir de cette affreuse situation.

Il se retourna et commença à fracasser la vitre avec le couteau. Si ça aurait été avec son poing il se l'aurait coupé et enfoncé dans la vitre en moins de 3 secondes. Il fit des contours sur la petite paroi de la vitre et finit par l'enfoncé, faisant un immense bruit.

Il se retourna et mis son doigt sur sa bouche pour avertir à l'autre homme de ne pas faire de bruit et de ne rien dire à personne. Ukyo passa ensuite son bras à travers la porte, pour enclancher le méchanisme de la poignée de porte, pouvant ainsi l'ouvrir.

Dès qu'il entendit le bruit, il retira son bras rapidement. Trop rapidement. La manière peu agile qu'il utilisa pour enlever son bras lui fit accrocher un morceau de vitre qui n'était pas tout enlevé, lui faisant ainsi une immense coupure sur l'épaule gauche. En voyant l'autre homme qui ne savait plus quoi faire, Ukyo se dépêcha d'ouvrir la porte pour qu'il s'en aille, pour ne pas avoir à affronter la capitaine dans cet état. Il laissa l'autre homme qu'il n'avait même pas parlé derrière.

Durant son chemin, il essayait de retirer les quelques morceaux de vitres qu'il avait d'implantés dans sa plaie, mais se coupait les doigts aussi à la fois. Pff, il est pas abile avec ça Ukyo, il déteste la vue du sang sur lui. Il mis sa main dégoulinante de sang sur son épaule jusqu'à ce qu'il arrive à la place publique, la où il pourrait demander de l'aide.

Mya n'était pas vraiment loins. Elle était passée par en arrière et avait joué un peu dans le jardin avant de s'aventurer un peu plus loins derrière chez elle. Elle ramassait quelques fleurs pour mettre un peu de couleurs chez elle. Comme elle n'était aps vraiment loins, elle entendit un gros bruit venant de chez elle ... HA NON ! Cela resemblait étrangement a une fenêtre. L'esclave avait-il été maladroit ou quelque chose comme ça ?

Elle se dirigea rapidement vers la maison. Elle débarra la porte d'en arrière en entra. Elle tomba aussitôt sur Hatrea qui était la, sous le choc.

- Non Mais .. QUOI ?

Elle venait de voir la fenêtre cassée, le couteau, le sang ...
Elle ne pouvait plus parler, probablement aussi car elle n'avait rien a dire. Elle comprit aussitôt que c'était l'esclave qui s'était enfuit.

- HAAAA ! JE L'AI PAYER ET IL EST PARTI... JE VEUX R'AVOIR MON ARGENT !

Elle reprit un ton plus calme, elle était presque en train de virer au rouge. Elle pointa la porte a hatrea. Elle était vraiment furieuse.

- Va me le chercher .. Vivant au mort, je m'en fou ! Va me le chercher !

Et après cette dernière phrase, elle fit demi-tour et s'enferma dans sa chambre.

Il regardait la scene attentivement...Tout c'était passé si rapidement...C'est alors quand regardant le sang il se sentit tout excité...Il se lecha les levres pui se tourna en direction de Mya, un sourire mesquin en coin.

-Mort ou vivant heein? Pour le momment, se que vous m'aviez demander est dans les caisses juste-la.

*Et puis...au diable les promesses...Je ne comprendrais jamais pourquoi tuer m'amuse autant...*

Il restait immobile pour reflechir pendant plusieurs longue minutes...Il jetta un regard a Mya qui semblait se demander se qu'il fesait encore ici...

-La chasse a l'homme est le plus amusant des sports... Si tu te demande se que je fait encore ici, je lui laisse prendre de l'avance... Il ne fadrait pas gacher tout le plaisair !

Il reprit son petit sourire en coin puis approchea la fenetre briser pour prendre un peu de sang et le renifler...Tout comme un animal le ferait...
Puis il se redressa en regardant Mya attendant un mouvement d'approbation pour son départ...

Mya eu presque peur en le voyant. Ses yeux étaient devennus si étranges ... Elle recula un peu et lui fit un signe de la tête.

- Vivant, il me serait plus pratique. Mort, il ne parlera plus et il sera seulement bon à manger ou à jeter.

Elle fit un autre sourire diabolique. Elle fixa alors la porte, elle ne comprenait pas encore comment il avait pu se couper. Elle reflechisait comment il allait pouvoir lui être utile.

- Il a une chaine dans le cou non ? Je l'accrocherai quelque part, il ne partira pas ! Il a accepter, c'était pas seulement pour 2 heures.

Et elle se tourna dos a lui, pour ne plus voir son regard.

- Aller, c'est l'heure ! Va me le chercher. Je te donne 3 Jours.

En restant en silence, elle l'entendit ouvrir la porte et sortir. Quand elle le vit un peu plus loins sur le chemin, elle barra la porte et soupira. Elle regarda par la fenetre jusqu'a ce qu'elle ne voit plus personne. Elle commencait a avoir peur de lui. Toute suite après, elle sortit par la porte d'en arrière et couru pour aller à son arbre. Elle n'aimait pas cette homme, elle n'aimait pas cette esclaves, elle n'aimait pas non plus cette situation..
Elle devait etre a nouveau seule. Elle avait besoin de ne plus voir se regard pour un bon moment.